Relationship between Self-Esteem and Academic Achievement of Girls with Hearing Impairments in Secondary Schools for the Deaf in Kenya

Le problème abordé dans cette étude était que bien que plusieurs facteurs tels que l'environnement scolaire, la situation familiale et/ou les obstacles à la communication aient été cités comme contribuant à la réussite scolaire perpétuellement lamentable des filles malentendantes , les facteurs d'estime personnelle, en particulier l'intérêt, la compétence, la valeur et la responsabilité n'avait pas été suffisamment explorée. Par conséquent, leur réussite a été faible et continue d'être faible malgré les efforts du gouvernement pour accroître les possibilités d'éducation pour tous ses citoyens par le biais de cadres législatifs et politiques. Le chercheur a postulé une hypothèse nulle Ho : il n'y a pas de différence significative entre l'estime de soi et la réussite scolaire defilles malentendantes. L'étude a été guidée par la théorie centrée sur la personne ou centrée sur le client de Carl Roger . La théorie stipule que les facteurs qui prédisaient le comportement ultérieur des êtres humains étaient la compréhension de soi. L'étude a utilisé une conception expost facto. L'échelle d'estime de soi de Rosenberg a été utilisée pour mesurer les dimensions de l'estime de soi, tandis que les résultats scolaires scolaires ont été utilisés pour mesurer la réussite scolaire. Les participantes à l'étude provenaient d'écoles pour filles malentendantes des provinces du centre et de l'ouest du Kenya, constituant un échantillon de cinquante-trois filles. Les données ont été recueillies à l'aide de questionnaires
et d'entretiens et analysées à l'aide du paquet statistique pour les sciences socialesprogramme. Les résultats obtenus indiquaient que les filles malentendantes possédaient une haute estime d'elles-mêmes, mais que leurs résultats scolaires étaient faibles. La corrélation entre l'estime de soi et la réussite scolaire sur Pearson Product Moment Correlation était à un niveau modéré. Il a été conclu que les filles malentendantes accordaient plus de valeur aux aspects relationnels (toilette), à ​​la musique et à la danse. Ils ont pris du retard en termes de fourniture d'une éducation de qualité en raison du manque de dispositifs technologiques spécialisés. L'étude a recommandé que les enseignants fassent un usage délibéré du renforcement positif qui encouragerait la participation des filles et favoriserait leur estime de soi vis-à-vis de la performance scolaire.Les directeurs d'école devraient initier des collaborations actives avec les parents, les enseignants, les élèves et les autres partenaires intéressés pour développer des projets constructifs. Le gouvernement a rendu le programme d'études flexible car le programme actuel était assez large, rigide, axé sur les examens, avait un calendrier fixe et manquait totalement de diversité. Une autre recommandation était que les concepteurs de programmes d'études réexaminent l'adaptation des programmes d'études pour permettre la diversité. L'organisme examinateur doit se concentrer sur l'évaluation pratique par le biais de stratégies telles que des observations, des démonstrations et/ou l'utilisation d'interprètes en langue des signes pour tous les examens requis. La mise à disposition d'appareils fonctionnels est une nécessité. Le gouvernement devrait augmenter la caisse d'invalidité pour répondre aux besoins exceptionnels des filles en tant que groupe d'apprenantes très vulnérables et offrir des possibilités de renforcement des capacités aux techniciens en appareils et accessoires fonctionnels. Des recherches intensives supplémentaires pour étudier les problèmes émergents cruciaux qui ont contribué à la corrélation modérée qui s'est produite, mais la réussite scolaire était faible et l'estime de soi était élevée. Une autre recommandation est de poursuivre les recherches dans le domaine de la maîtrise de la communication en langue des signes du Kenya pour tous les enseignants des écoles qui admettent des apprenants malentendants.