LES ORGANISATIONS COMMUNAUTAIRES ET LA GESTION DURABLE DES AIRES PROTEGEES: Cas du Parc National de Taï (Côte d’Ivoire)

Auteurs-es

GLEANOU Kouayémun Epiphanie Hervé
##plugins.pubIds.doi.readerDisplayName## https://doi.org/10.57054/codesria.pub.918

Mots-clés :

ORGANISATIONS COMMUNAUTAIRES, GESTION DURABLE, AIRES PROTEGEES, Parc National de Taï

Synopsis

En Côte d’Ivoire, d’un couvert végétal forestier de près de 16 millions d’hectares, au début des années 60, l’on est aujourd’hui passé à environ 2 millions d’hectares (Goh D., 2005) de forêt. Cette situation est due aux fortes pressions anthropiques sur les ressources naturelles, exprimées en termes de démographie galopante, pratiques agricoles extensives et dégradantes,
prélèvement abusif de bois, braconnage, etc. Face à cette réalité, les aires protégées constituent une des solutions à la préservation de la biodiversité et sa gestion rationnelle pour un développement durable. Pour atteindre les objectifs de gestion durable des aires protégées en général et du Parc National de Taï de façon spécifique, la participation des populations riveraines s’est avérée nécessaire. En effet, la participation des populations à la gestion durable du Parc National de Taï est une solution aux pressions exercées par celles-ci sur les ressources naturelles.

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février 12, 2006

Séries